Préserver la mémoire, un enjeu stratégique. L’exemple de Superphénix
En 1998, quand Superphénix s’arrête, un savoir-faire et toute une mémoire commencent à se dissiper. Départs à la retraite, mutations, changements d’entreprise ou de secteur, celles et ceux qui ont travaillé sur le projet ne sont plus nombreux. En 2015, ne restent que des dizaines de milliers de documents et des centaines de mètres de rayonnages… pour préparer ASTRID1, une équipe s’organise pour garder la mémoire et faire perdurer le savoir-faire français. Comment ? Quels défis a-t-elle dû relever ? Quels enseignements tirer d’un tel travail ?
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